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Broutards L’activité est facilitée par le recul de l’offre

Les sorties de la semaine sont revues à la baisse, mais elles reflètent le recul global de la production. Cette tendance devrait se poursuivre sur le mois de mai : la pluie qui tombe sur la Région Centre va favoriser la pousse de l’herbe. Du côté des échanges, l’activité se tient relativement bien malgré une demande réservée de l’Italie. Les envois vers les pays tiers font un bon complément.

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L’activité commerciale est fluide sur l’ensemble des marchés et cadrans. Tous les mâles de qualité et vaccinés pour l’exportation se vendent sans difficulté. À Moulins-Engilbert, Châteaumeillant, Corbigny ou Saint-Christophe-en-Brionnais, les Charolais U de 400-450 kg se valorisent à 2,62 € de moyenne.

 

Sur les marchés de l’Ouest, la vente est également régulière. Les broutards charolais de 250-300 kg se vendent autour de 2,95 € à Cholet et à 2,80 € sur Châteaubriant. Du côté des sujets limousins, l’offre reste étoffée sur le marché d’Ussel, entraînant un léger tassement des prix. Les mâles de 350-400 kg se négocient à 3,82 €.

 

Dans les bonnes charolaises ou limousines vaccinées pour l’Italie, les flux restent fluides. Sur les cadrans, ces dernières se négocient autour de 2,70-2,75 €.

 

L’animation reste en revanche très calme dans la moyenne marchandise, faute de débouchés suffisants vers l’Espagne. Dans le centre de la péninsule, les grands élevages écoulent leurs animaux vers les ateliers d’engraissement de l’Ouest avant la période sèche. Les broutards charolais R de 250-300 kg partent entre 2,40 et 2,65 €. La petite marchandise croisée reste faiblement valorisée entre 450 et 650 € dans les mâles et de 300 à 500 € dans les femelles.

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